D266 - Java: un petit tour et puis s'en va / Una última vueltecita

Yogyakarta / Jogjakarta

Elle porte de nombreux noms, mais ici, on la surnomme affectueusement "Djogja". Yogyakarta est la capitale culturelle et religieuse de Java. C'est aussi une ville rebelle: son opposition aux occupants Japonais et Occidentaux lui confère un statut à part dans le systeme politique Indonésien, et son sultan, une personnalité des plus vénérées, ne rend de comptes qu'au président de la République en personne!

 

Lleva muchos nombres, pero aquí, se la llama con mucho cariño "Djogja". Yogyakarta es la capital cultural y religiosa de Java. También es una ciudad rebelde: su oposición a los invasores Japoneses y occidentales le valieron un estatuto aparte en el sistema político de Indonesia, y su sultán, una personalidad de las mas respetadas, no rinde cuentas a nadie menos que al presidente de la República en persona!

 

La ville s'article autour d'une artère commerciale étourdissante, Jalan Malioboro, avec son alignement de boutiques, ses scooters en pagaille et tout l'assortiment de moyens de transport possible et imaginable! Tout au sud de la rue se trouve le Kraton, le palais du sultan! Rien d'extraordinairement fastueux, mais un bâtiment agréable, et quelques rues plus tranquilles au coeur de la ville! Souvent, la matinée est l'occasion d'assister à une répétition de gamelan (le xylophone local) ou à un spectacle de marionnettes! Nous n'aurons aucun des 2, mais nous passerons quelque temps à regarder un artisan sculpter sa marionnette, en ecoutant les explications sur la dimension spirituelle de cet art!

 

La ciudad vive alrededor de una tremenda calle commercial, Jalan Malioboro, con sus desfiles de tiendas, sus motos que van y vienen en un caos indescriptible, y todo lo que se puede imaginar a modo de transporte! Al extremo sur de la calle se encuentra el Kraton, el palacio del sultán! No es mucha cosa, sino un recinto apacible y agradable, y algunas calles iguales de tranquilas en el corazón de la ciudad! A menudo, se pueden apreciar repeticiones de gamelan (el xilofono local) o a espectaculos de marionetas! No veremos ninguno, pero pasamos algo de tiempo con un escultor trabajando en su marioneta, escuchando las explicaciones sobre toda la dimension espiritual de este arte!

 

Sous la chaleur étouffante du début d'après midi, nous continuons un peu plus au sud, pour se rendre compte que l'échelle n'est pas la qualité première des cartes locales! Le marché aux oiseaux est en effet au moins 2 fois plus loin que ce que laisse penser la carte... Arrivés, en nage, nous passons entre toutes ces cages pleines d'animaux curieux... Beaucoup de coqs, quelques perruches, des hiboux, des chauves souris vampires (parait il que leur chair guérit les asthmatiques), et quelques singes ou écureuils au milieu des chattons et chiots!

 

Bajo el calor asfixiante de las primeras horas de la tarde, seguimos rumbo al sur, para darse cuenta que la escala no es el punto determinante en los mapas locales! De hecho, el mercado de los pájaros esta como mínimo dos veces más lejos que lo que daba a pensar el mapa... Llegamos sudados, y paseamos entre las jaulas... Muchos gallos, unos loros, búhos, murciélagos vampiras (parece que su carne ayuda los asmáticos), y algunos monos o ardillas entre unos gatitos y perritos!

 

Pour terminer cette agréable journée du 11/11/11, nous retrouvons Catherine et Lydia, les deux Quebéquoises avec qui nous avons passé la journée, pour aller à un spectacle gratuit dans un parc pas très loin. L'occasion d'assister à un mélange de musique moderne et d'instruments traditionnels (dont une curieuse version de "It's my life" de Bon Jovi au gamelan!). Une bonne soirée pour conclure une journée bien remplie!

 

Para acabar con este agradable día del 11/11/11, quedamos con Catherine y Lydia, dos chicas de Quebec con quién hemos pasado el resto del día, para acudir a un espectáculo grátis en un parque cercano. Una oportunidad para experimentar una mezcla de música moderna con instrumentos tradicionales (entre otras una curiosa versión de "It's my life" de Bon Jovi con el gamelan!). Una buena noche para concluir un día completo!

 

Nous souhaitions quitter Jogja un peu plus tôt, mais faute de billets de train, nous nous résignons a y rester une nuit de plus, un sacrifice des plus acceptables! Finalement, Bob et Sarah, couple de cousins venus de la belle ville de Québec, nous accompagneront. Nous profitons de l'après midi pour visiter une fabrique artisanale de cigares, une visite agréable et instructive! On y constate que c'est un homme qui se charge des cigares préparés à la machine, mais que ce sont exclusivement des femmes qui élaborent les cigares manuels, préparant tout de A à Z, du tri des feuilles de tabac Javanais à la préparation des boites!

 

Queríamos irnos de Jogja un poco antes, pero por falta de billetes de tren, nos conformamos con quedarnos una noche más, un sacrificio de los más aceptables! Finalmente, Bob y Sarah, pareja de canadienses de la bonita ciudad de Quebec, nos acompañarán! Aprovechamos la tarde para visitar una fabrica artesanal de purros, una visita agradable e instructuva! Vemos que es un hombre el que maneja la máquina para los purros no hechos a mano, pero que son solo mujeres las que se encargan de todo de A a Z para esos últimos, desde la selección de las hojas de tabaco de Java hasta la preparación de las cajas!

 

Borobudur

Borobudur est un temple Bouddhiste, peut être l’un des (ou le) plus importants de toute cette religion… Il fut édifié aux alentours de l’an 800, une époque où Java était majoritairement sous domination Bouddhiste. Il s’agit d’un monument de pierre volcanique (on parle de monument et non de temple pour la simple et bonne raison qu’on ne peut pas y entrer, l’intérieur étant comblé), qui comme le Machu Picchu par exemple, a eu beaucoup de chance: la plus terrible explosion du Mérapi, le turbulent volcan voisin, l’a couvert de cendres en1006, et le site est resté enterré jusqu’en 1815. Les Hollandais puis l’UNESCO au cours des annees 70 l’ont profondement rénové pour en faire ce que nous voyons aujourd’hui. Comme les temples voisins de Prambanan, Borobudur a intégré la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 1991.

 

Borodudur es un templo Buddista, quizas uno de los más (o el más) importantes de toda esta religión… Se edificó alrededor del año 800, una época cuando Java vivía principalmente bajo la influencia de los Buddistas. Se trata de un monument de piedra volcanica (se habla de monumento y no de templo ya que el interior es relleno, lo que no permite entrar como se podría en un templo), que como el Machu Picchu por ejemplo, tuvo mucha suerte: la mas tremenda de las erupciones del Merapi, el turbulente volcan vecino, lo cubrió con cenizas en 1006, y quedó enterrado hasta el año 1815. Los Holandeses y luego la UNESCO durante los años 70 renovaron mucho el monumento para convertirlo en lo que visitamos ahora. Como los templos vecinos de Prambanan, Borobudur integró el listado del Patrimonio Cultural de la Humanidad en el año 1991.

 

La première impression de Borobudur est celle d’un temple imposant mais loin d’être hors norme, avec sa pointe à 38m de haut. C’est en s’approchant qu’on découvre un peu plus ce qui fait tout son charme et sa valeur. Il se compose de 6 niveaux rectangulaires flanqués de stupas (plus d’un millier à la période la plus faste du monument), de statues de Buddhas finement ciselées, et surtout de près de 1500 panneaux graves relatant l’histoire de Bouddha et ses enseignements. L’histoire commence par un rêve dans laquelle la Reine Maya se voit fécondée par Bouddha, descendu du paradis sur un éléphant blanc pour sauver le monde. L’un des deux enfants à qui elle donne naissance, le Prince Siddharta, est destiné à rester dans le palais de son pere pour ne pas être exposé aux malheurs de la vie terrestre. Il finira par s’en evader, et parcoura le royaume dans la quête de l’illumination, qu’il atteindra pour devenir la première incarnation de Bouddha sur Terre. On peut aussi admirer la représentation des 8 Commandements du Bouddhisme dans un ensemble d’une finesse incroyable…

 

La primera sensación que da Borobudur es la de un templo imponente pero nada fuera de serie, con su cumbre a 38m de alto. Es cuando uno se acerca que descubre un poco más lo que le da tanta valor al monumento. Se compone de 6 niveles rectangulares con estupas (más de un millar en el período más fastuoso del edificio), de estatuas de Buddhas de corte muy fino, y sobre todo de cerca de 150 paneles grabados contando la historia de Buddha y sus enseñanzas. La historia empieza en un sueno que tiene la reina Maya en el cual se ve fecundada por Buddha, bajado del paraíso en un elefante blanco para salvar el mundo. Uno de los dos niños a los cuales da a luz, el Príncipe Suddharta, tiene como destino quedarse en el palacio de su padre para no estar expuesto al malo de la vida terrestre. Acabará escapándose, y recorrirá el reino buscando la illuminación, que encontrará para convertirse en la primera encarnación de Buddha en la Tierra. También se puede apreciar ilustraciones de los 8 Mandamientos del Buddhismo en un conjunto de una fineza increible…

 

Toute la structure est pensée comme une représentation cosmique du Bouddhisme. Alors que les niveaux rectangulaires, où se trouvent les panneaux, sont le chemin que doit parcourir l’homme dans sa route vers l’illumination, les 3 derniers niveaux sont circulaires et extrêmement sobres. Ils sont le symbole de la fin du cheminement au travers du “chemin de la haine” pour atteindre le Nirvāna, littéralement l’état de dépouillement total de l’ame, débarassée des tracas terrestres, en paix… Le guide nous précise que le dernier niveau, celui sur lequel les stupas sont percées de trous carrés, symbolise la stabilité, et n’est accessible qu’à très peu d’élus… Autre curiosité, le nombre de statues de Bouddhas par plateforme est toujours un multiple de 8 (16, 24, 32, 64, 72, 88 puis 104), ce chiffre représentant l’infini!

 

Toda la estructura esta pensada como una representación cósmica del Buddismo. Mientras los niveles rectangulares, donde se encuentran los paneles, son el camino que debe recorrer el hombre en su camino hacia la iluminación, los 3 últimos niveles son circulars y extremádamente sóbrios. Son el símbolo del final del camino a través del “camino del odio” para llegar al Nirvāna, literalmente el estado de paz y de vacío del alma, despejada de sus preocupaciones terestres… El guía nos comenta que el último nivel, donde las estupas aparecen con agujeros cuadrados, representa la estabilidad, y allí solo llegan unos muy pocos elegidos… Otra peculiaridad, el número de estatuas de Buddhas por plataforma es siempre un múltiple de 8 (16, 24, 32, 64, 72, 88 y 104), esta cifra representando el infinito!

 

Prambanan

Nous voilà à quelques kilomètres à peine de Jogja, sur le bord de la route menant à Surakarta. Au dessus des arbres, on aperçoit le haut d’un grand temple. Nous sommes à Prambanan, plus grand ensemble hindouiste d’Indonésie, batti à partir du IXe siècle en réponse à un siècle de domination Bouddhiste dans la région. Le complexe se présente comme un hommage aux trois divinités Hindouistes: Shiva, “le destructeur” occupe le temple principal. A sa droite se trouve Brahma, “le createur”, avec ses quatre têtes (il faut bien ca pour surveiller toute sa création), et le temple de gauche est dédié à Vishnu, “le protecteur”. Sur les parties basses, toute une série de panneaux raconte l’histoire épique de Ramayana et Krishnayana, un des piliers de l’Hindouisme.

 

Ahora estamos a apenas unos kilómetros de Jogja, al borde de la carretera que lleva hacia Surakarta. Arriba de los árboles, se puede ver la parte alta de un templo. Estamos en Prambanan, el conjunto Hinduista más importante de toda Indonesia, construido a partir del siglo IX para responder a un siglo de dominación Buddista en la zona. El recinto se presenta como un homenaje a los tres dioses Hinduistas: Shiva, “el destructor” ocupa el templo principal. A su derecha encontramos a Brahma, “el creador”, con sus cuatro cabezas (es lo mínimo para vigilar tanta creación), y el templo de la izquierda esta dedicado a Vishnu, “el protector”. En las partes bajas, toda una serie de paneles grabados cuenta la historia épica de Ramayana y Krishnayana, uno de los pilares del Hinduismo.

 

A quelques centaines de mètres de là se trouve le temple de Sewu. Il s’agit d’un autre complexe Hindouiste qui comme Prambanan compte 240 temples: une base rectangulaire sur laquelle figuraient les principaux (16 dans le cas de Prambanan), et une multitude de temples secondaires autour. Cet ensemble est un bel exemple d’architecture symétrique, très importante dans la religion Hindouiste car symbole d’harmonie.

 

A unos centenares de metros de aquí se encuentra el templo de Sewu. Se trata de otro recinto Hinduista que como Prambanan cuenta con 240 templos: una base rectangular en la cual se encontraban los principales (16 en el caso de Prambanan), y muchos secundarios alrededor. Este conjunto es un bonito ejemplo de arquitectura simétrica, muy importante ya que símbolo de harmonia para la religión Hinduista.

 

Jakarta

Toujours plus à l'ouest, jusqu'aux limites de nos 30 jours de visa, nous voilà à Jakarta. Un bref passage, dans une ville où il faut parait-il aller au moins une fois, pour voir... Le traffic est étourdissant, on doit crier pour s'entendre, et une couche de brouillard malodorante couvre tout! Dans le centre ville, une grande place carrée au milieu des immeubles, dans laquelle se trouve LE monument de la ville, une colonne de 132m élégamment surnommée l'Ultime Erection de Sukarno (du nom de l'ancien dictateur), d'où l'on peut essayer d'admirer la vue perpétuellement brumeuse sur les environs!

 

Siempre hacia el oeste, hace el límite de nuestros 30 días de visado, estamos en Jakarta. Una visita breve, en una ciudad donde se dice que hay que ir al menos una vez, para ver... El tráfico es acojonante, hay que gritar para comunicarse, y una capa de humo maloliente lo cubre todo! En el centro, una plaza ancha en medio de los inmuebles es donde encontramos EL monumento de la ciudad, una columna de 132m que lleva el elegante apodo de Ultima Erección de Sukarno (del nombre del antiguo dictador), de dónde se puede intentar disfrutar de las vistas nubladas sobre los alrededores!

 

L'après midi venant, nous nous séparons de Bob & Sarah avec qui nous avons passé de bons moments! Eux restent à Jakarta, direction Sumatra, alors que nous repartons pour Kuala Lumpur... Le bus pour l'aéroport nous offre une vision différente: celle d'une métropole grouillante de près de 10 millions d'habitants, une des villes à la croissance la plus rapide de la planète. Ici, des quartiers à l'abandon cotoient des centres commerciaux de luxe et des autoroutes surélevées... A l'image d'un pays étonnant, un veritable coup de coeur (l'Indonésie, pas Jakarta!).

 

Llega la tarde, y es tiempo para despedirse de Bob & Sarah, con quiénes pasamos muy buenos momentos! Ellos se quedan en Jakarta, rumbo a Sumatra, mientras que nosotros volvemos a Kuala Lumpur... El autobus hacia el aeropuerto nos proporciona otra visión: la de una metrópolis tremenda de cerca de 10 millones de habitantes, una de las ciudades con tasa de crecimiento más elevada en el planeta. Aquí, barrios abandonados se mezclan con centros comerciales lujosos y autopistas elevadas... Una imagen típica de un país sorprendente, un verdadero flechazo (Indonesia, no Jakarta!).

 

L'art Javanais / El arte de Java

Pour finir, un petit mot sur l'art Indonésien en général, Javanais en particulier. Après les danses de Bali, nous nous imprégnons des autres formes de cette culture si forte, nourrie de la diversité religieuse incroyable du pays... Derrière le Kraton, nous voyons à l'oeuvre les sculpteurs de marionnettes. Puis au bout d'une ruelle, nous découvrons la subtilite de l'art du Batik, ces textiles typiques de Jogja. Le principe: on dessine à la cire des motifs sur du tissu (ou de la soie), puis on trempe dans des colorants naturels pour donner la couleur. On sèche puis on fait bouillir pour éliminer la cire. On recommence à dessiner, pour que la cire protège toute la partie de tissu à ne pas colorer, et on passe la seconde couleur, et ainsi de suite avec toutes les couleurs. Un art séculaire, de très belle qualité!

 

Para terminar, unas palabras sobre el arte Indonesiano en general, Javanés en particular. Después de los bailes de Bali, llegamos a conocer otras formas de esta cultura tan fuerte, nutrida por la diversidad religiosa increíble del país... Detrás del Kraton, vemos trabajar unos escultores de marionetas. Luego en un callejón, descubrimos la sutilez del arte del Batik, esos textiles típicos de Jogja. La forma de hacerlo: se dibuja con cera en un tejido (o en seda), luego se pone a mojar en colorantes naturales para dar el color. Se seca y se calienta otra vez para quitar la cera. Se vuelve a dibujar, para que la cera proteja toda la parte de tejido que no tiene que coger color, y se pone el segundo color, y asi con todos los colores. Un arte muy tradicional, de muy buena calidad!

 

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Commentaires: 5
  • #1

    Marylène & Philippe (jeudi, 17 novembre 2011 09:27)

    Très beau voyage au sein de l’Indonésie. Les monuments sont magnifiques. J’espère que vous avez acheté de beaux Batiks. J’ai déjà vu la marionnette de le dernière photo quelque part ;)Bisous de nous deux

  • #2

    Mamaré et Paparé (jeudi, 17 novembre 2011 11:01)

    Superbe travail des sculpteurs pour les monuments et statues... Beaucoup de patience pour les employées du tabac et les créateurs de batiks !! Un grand contraste entre le secteur artisanal et la vie grouillante des villes..
    Grosses bises !!

    Un trabajo estupendo de parte de los escultores para los monumentos y estatuas ... Mucha paciencia de parte de las empleadas del tabaco y de las creadoras de batik.. Un gran contraste entre el sector artesano y la vida bullente de las ciudades...
    ¡ Un gran abrazo nuestro !

  • #3

    tiajanine tio alain (vendredi, 18 novembre 2011 11:49)

    Vous êtes très beaux en "sari" tous les deux ....que de couleurs ...et ces cigares ....Alain a regardé ces fameux cigares ....vous nous emporté toujours vers des endroits insolites ...et cela fait du bien ...Sophie si tu trouves une conteuse dans tes rencontres tu me diras ce qu'elles racontent comme "contes" aux enfants avez-vous parlé à une institutrice ? bisous de nous deux et soyez prudents ...nous pensons souvent à vous à Meylan.

  • #4

    Magali (vendredi, 18 novembre 2011 17:56)

    bravo et bravo ! vos photos sont magnifiques. Vs ns faites toujours autant rêver. Pas trop de monde sur les plages, et pas les crieurs de "chouchous, beignets" !!! Attention aux coups de soleil pour pandette, les traces de tongues sont difficiles à cacher !! bises à vous deux et bonne continuation

  • #5

    JPF (dimanche, 20 novembre 2011 22:09)

    Toujours sous le charme de l'Indonésie: de la nature, de la culture, de la fibre artistique de ses habitants.., Vous devez vous sentir ressourcés et en accord avec votre projet...
    A plus tard... JPF

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