D60 - Santiago, Valparaíso: derniers jours au Chili / últimos días en Chile

Lorsque nous débarquons dans le désormais familier aéroport de Santiago de Chile au retour de l’île de Pâques, la température est encore assez douce, même si cela n’a rien à voir avec Hanga Roa! On prévoit de rester une petite dizaine de jours supplémentaires au Chili, entre la Ve et la VIe région, et de profiter de nos guides “locaux” pour nous faire découvrir d’autres facettes du centre du pays!

 

Cuando desembarcamos en el ya muy familiar aeropuerto de Santiago de Chile a la vuelta de la Isla de Pascua, la temperatura sigue siendo bastante agradable, aunque no tiene nada que ver con el clima de Hanga Roa! Tenemos previsto quedarnos unos 10 días más en Chile, entre la Va y la VIa región, y aprovechar la presencia de guías “locales” para descubrir otras facetas del centro del país!

Santiago de Chile

En arrivant à Santiago, le programme est encore assez flou: nous savons que nous devrions partir pour Valparaíso le dimanche, mais les billets restent à acheter. Le premier soir, nous découvrons de nuit le quartier étudiant très animé de Bellavista. L’ambiance y est très agréable, les terrasses bondées et la foule dans la rue nous changent de nos 4000 co-habitants en 120km2 de la semaine précédente!

Le lendemain matin, ambiance bien plus calme! On se lève pour monter au Cerro San Cristobal, point culminant offrant de belles vues sur la ville… les rares fois où le nuage de pollution qui enveloppe la capitale en quasi permanence daigne bien se lever! Pas de chance pour nous, on peine même à distinguer les Andes en arrière plan… Après quelques échanges sur la table de ping pong à l’auberge, on consacre l’après midi à la visite du Palais présidentiel de la Moneda et à l’achat des billets de bus pour “Valpo”, départ dimanche 18h20! Le soir, l’ami de Sophie Osvaldo nous fait la bonne surprise de nous rejoindre à l’auberge. Il nous emmène dans le paisible quartier de Lastarria pour un agréable diner avant notre premier Pisco Sour dans le Patio Bellavista, à quelques rues de l’hôtel!

 

Al llegar a Santiago, seguimos sin saber muy bien que vamos a hacer: sabemos que tendríamos que irnos a Valparaíso el domingo, pero no tenemos billetes todavía. La primera noche, nos adentramos de noche en el barrio estudiantil de Bellavista. El ambiente esta muy agradable allá, las terrazas llenas y la gente en la calle es un cambio comparado con nuestros 4000 co-habitantes en 120km2 de la semana anterior!

A la mañana siguiente, el ambiente es radicalmente distinto! Las calles son desiertas cuando nos levantamos para subir al Cerro San Cristobal, cumbre que proporciona bonitas vistas de la capital… las pocas veces que la nube de contaminación que cubre Santiago muy a menudo se quiere levantar! No tenemos suerte, apenas conseguimos adivinar la línea de los Andes que forma el segundo plano del marco… Después de jugar al ping pong un ratito en el albergue, salimos para visitar el Palacio Presidencial de la Moneda y compramos los billetes para “Valpo”, el domingo a las 18h20! Por la noche, el amigo de Sophie Osvaldo nos hace la sorpresa de llegar al hostel! Nos lleva a cenar en el tranquilo barrio de Lastarria antes de tomarnos nuestro primero Pisco Sour en el Patio Bellavista, a unas pocas cuadras del hostel!

La plupart de la visite de la capitale Chilienne est “bénie” par la pluie… On débute par une promenade sur la rive du fleuve (dont Piñera, président visionnaire, veut faire la Seine de Santiago) et nous passons par quelques édifices anciens jusqu’à arriver à la Place d’Armes. C’est là que se trouve le coeur de la ville, avec la belle cathédrale (qui fût affectée par le tremblement de terre de Concepción de l’an passé) et quelques musées. Juste derrière se trouve l’ancien siège du Congrès (l’actuel se trouve à Valparaíso selon les souhaits de Pinochet qui souhaitait l’éloigner du pouvoir excécutif), et à quelques rues de là le Cerro Santa Lucia, un petit pic rocheux en plein centre historique! On ne montera pas en haut avec Osvaldo pour cause de mauvais temps, on termine plutôt la visite par un déjeuner de circonstance en ce vendredi Saint: poisson et fruits de mer au Mercado Central, dont la conception est attribuée à Gustave Eiffel, suivi par la visite de la Chascona, une des 3 maisons de Pablo Neruda. En parlant d’Eiffel, notre dernière après midi avant le départ pour l’Argentine, nous la passons à Santiago, et en plus du Cerro Santa Lucia (qui cette fois nous accueille sous le soleil), on jette un oeil à la gare centrale, que le Chile commanda aussi au maître Français.

 

La mayor parte de la visita de la capital Chilena se ve “bendecida” por la lluvia… Damos una vuelta por la orilla del río (que el visionario presidente Piñera quiere transformar en el río Sena Santiagueño…) y pasamos por algunos edificios antiguos, llegando a la Plaza de Armas. Allí se encuentra el corazón de la ciudad, con la hermosa catedral (que se vio afectada por el terremoto de Concepción el año pasado) y algunos museos. Justo detrás se encuentra el antiguo edificio del Congreso (el actual esta en Valparaíso según los deseos de Pinochet que lo quería de cierto modo desvincular del poder ejecutivo), y a pocas cuadras el Cerro Santa Lucia, un pequeño cerro rocoso en pleno centro histórico! No llegamos a subir con Osvaldo por el mal tiempo, acabando la visita por una comida de circunstancia para este viernes Santo: pescado y mariscos en el Mercado Central, cuya concepción se atribuye a Gustave Eiffel, antes de visitar la Chascona, una de las tres casas de Pablo Neruda. Hablando de Eiffel, nuestra última tarde antes de salir rumbo a Argentina, la pasamos en Santiago, y además del Cerro Santa Lucia (que esta vez vemos con el sol), echamos un vistazo a la estación central, que Chile también encargó al maestro Francés.

Dans la campagne Chilienne, Toquihua & Sewell / en el campo chileno, Toquihua & Sewell

Pour poursuivre notre séjour en compagnie d’Osvaldo, nous prenons la route pour Toquihua, petit villaje de 1.000 habitants à 2h au sud de Santiago, où ses parents nous font l’honneur de nous recevoir chez eux. En arrivant, c’est en fait à toute la famille que nous sommes présentés, et c’est avec plaisir qu’on découvre l’hospitalité de ces gens!

Le lendemain, nous profitons d’être dans la région pour visiter un des 5 sites Chiliens classés au Patrimoine Mondial de l’Unesco: l’ancien campement minier de Sewell. Perché à 2.200m d’altitude sur les contreforts des Andes, cette petite ville pouvant abriter 15.000 personnes vit passer pendant près d’un siècle (jusqu’en 1998) plus d’un demi million de mineurs et leurs familles (dont une tante d’Osvaldo), travaillant dans la mine d’El Teniente, la plus grande mine de cuivre souterraine au monde. Fondé par les Américains, le site était totalement autonome, les habitants ne descendaient d’ailleurs que 2 fois l’an à Rancagua, la ville la plus proche (60km). Au temps de sa grandeur, vivre à Sewell était considéré un privilège, les communautés américaines et chiliennes, bien que separées géographiquement, vivaient en harmonie et l’on trouvait là haut un bowling, des piscines chauffées et le meilleur hôpital d’Amérique du Sud! La vue de ces bâtiments colorés sous la blancheur de la neige fraîchement tombée est magnifique!

 

Para seguir nuestra estancia con Osvaldo, dejamos Santiago rumbo a Toquihua, pueblecito de 1.000 habitantes 2h más al sur, dónde sus padres nos hacen el privilegio de recibirnos en su casa. Al llegar, nos damos cuentas que de hecho es toda la familia que vamos a conocer, y allí descubrimos con mucho gusto la hospitalidad de esta gente!

Al día siguiente, aprovechamos el hecho de estar en la zona para visitar uno de los 5 lugares de Chile parte del Patrimonio Mundial de la Humanidad del Unesco: el antiguo campamento minero de Sewell. Ubicado a 2.200m de altura en las primeras pendientes de los Andes, esta pequeña ciudad podía albergar hasta 15.000 personas y vio pasar durante casi un siglo (hasta el 1998) más de medio millón de plus mineros y sus familias (entre los cuales una tía de Osvaldo), trabajando en la mina El Teniente, la mina de cobre subterránea más grande del mundo. Fondada por Americanos, el sitio era totalmente autónomo, los habitantes bajaban solo 2 veces al año a Rancagua, la ciudad más cercana (60km). En sus tiempos de gloria, vivir en Sewell se consideraba un privilegio, las comunidades norte americana y chilena, aunque separadas geográficamente, convivían tranquilamente y allí arriba se encontraban un bowling, piscina calentadas y el mejor hospital de América del Sur! La vista de estos edificios colorados con la blanca nieve que acababa de caer era preciosa!

La seconde partie de la visite consiste en la visite d’une partie de la mine elle même, toujours en exploitation et au futur garanti par les réserves de cuivre découvertes! Notre guide nous explique plusieurs choses: tout d’abord, et contrairement à ce que l’on pourrait croire, la mine est exploitée de bas en haut en direction du sommet de la montagne (les dernières excavations se trouvant 7 niveaux au dessus de la mine initiale), et non vers la profondeur! Ensuite, d’un point de vue géologique, si cette masse rocheuse en particulier contient du cuivre et pas les environnantes, c’est dû au fait qu’il s’agit en fait d’un volcan qui n’est jamais entré en éruption (d’où le souffre, sous produit du cuivre!). Enfin, la mine est une véritable fourmilière qui ne dort jamais, les employés travaillent par tours de 8h le long de plus de 3000km de tunnels!

Pour la visite en elle même, on nous habille avec tous les équipements de sécurité, puis on pénètre au coeur de la montagne. Notre premier arrêt est la salle de “chancado”, où une sorte de broyeur de plusieurs centaines de tonnes réduit les immenses blocs de minerai extraits de la mine en morceaux de quelques centimètres de diamètre (nous avons eu la chance de voir la machine fonctionner et réduire en poussière 500 tonnes de minerai en 6 minutes). En aval, ce minerai broyé est transporté vers les étapes suivantes du processus d’extraction et de purification du cuivre: piscines de décantation, fonderie, etc… que nous avons pu voir le long de la route!

 

La segunda parte de la visita consiste en la visita de una parte de la mina en si, que sigue siendo explotada y cuyo futuro esta garantizado por las reservas que se han descubierto allí. Nuestro guía nos explica varias cosas: primero, y a pesar de lo que uno puede pensar, la mina se explota desde abajo hacia la cumbre de la montaña (las últimas excavaciones se encuentran 7 niveles arriba de la mina original), y no en profundidad! Luego, desde el punto de vista geológico, si esta masa rocosa en particular contiene cobre y no las demás alrededor, se debe al hecho que se trata de un volcán que nunca llegó a entrar en erupción (de aquí el sulfuro, producto del cobre). Última cosa, la mina es una auténtica hormiguera que nunca duerme, con mineros trabajando por turnos de 8h a lo largo de más de 3000km de túneles!

En lo que se refiere a la visita en sí, nos visten con todo el equipo de seguridad, y nos adentramos en el corazón de la montaña. Nuestra primera parada es la sala de “chancado”, donde un tipo de máquina de centenares de toneladas que fracciona los inmensos bloques de mineral extraídos de la mina en trozos de unos centímetros de ancho (tuvimos la suerte de verla machacar 500 toneladas en 6 minutos). Más adelante, este mineral se transporta hacia las siguientes etapas de extracción y de purificación del cobre: piscinas de decantación, funderías, etc… que pudimos ver subiendo a lo largo de la carretera!

On se dirige ensuite vers une caverne bien spéciale. En excavant, les mineurs sont tombés sur cette cavité naturelle aux cristaux authentiques. Les varietés de cuivre et de quartz ont formé ce spectacle brillant de mille feux, aux cristaux transparents. Il est désormais temps de reprendre la route, le soleil de montagne nous a épuisé!

 

Luego nos dirigimos hacia una caverna muy especial. Excavando, los mineros se encontrarpn con esta cavidad natural con auténticos cristales. Las variedades brillantes de cobre y quartz han dado luz a este hermoso espectáculo de cristales transparentes. Ahora hay que volver a casa, el sol de la montaña nos ha dejado exhaustos!

Après cette belle visite, je profite de la nuit étoilée pour faire quelques photos, et nous profitons d’un dernier repas avec les parents d’Osvaldo le dimanche midi avant de les remercier chaleureusement pour leur accueil et de reprendre notre route!

 

Después de esta bonita visita, aprovecho la noche para sacar unas fotos a las estrellas, y disfrutamos una última cena con los padres de Osvaldo el domingo por el mediodía antes de agradecerles su hospitalidad y de volver a ponernos en camino!

Valparaíso: porte ouverte sur le Pacifique / puerta abierta en el Pacífico

La première impression que l’on a de Valparaíso est celle d’une sorte de théatre: le “plan” (la partie plate le long du bord de mer) serait la scène où passe tout le trafic, les zones commerciales, le marché et la station de bus. Tout autour, des milliers de bâtisses multicolores accrochées aux 42 collines de la ville paraissent toute observer ce qui se passe en bas!

Lorsque nous arrivons, il fait déjà nuit, et les “cerros”, ces zones surrélevées qu’on aperçoit de tout point de la ville, brillent de milliers de petites lumières qui leur donnent un côté féerique! Valparaíso, c’est avant tout le pays des escaliers, des petites rues en pente et des maisons aux murs peints (ou couverts de tôles) aux couleurs pastels qui semblent s’accrocher jusqu’à leur dernier souffle aux reliefs escarpés du lieu. La ville en soi est bruyante, sale, les chiens courent les rues, et la mauvaise réputation précède nombre de quartiers: sa pimpante voisine Viña del Mar n’aurait rien à lui envier… Mais Valparaíso ne se visite pas: on s’y balade, on respire la vie trépidante, l’atmosphère bohème, les murs couverts de tags et de peintures les plus artistiques. Tout le charme de la ville réside dans son authenticité, son identité qui la fait unique (les porteños comme on les appelle sont fier de clamer que McDonald’s a échoué 2 fois à conquérir la ville de Pablo Neruda).

Si l’on devait résumer notre séjour, on retiendrait de belles balades sur les cerros, des points de vue tous plus spectaculaires les uns que les autres, les “micros” (petits bus locaux) qui filent au milieu du trafic, le “completo” (sandwitch viande, avocat, tomate, salade mayonnaise, le pourfendeur du Big Mac) et la découverte de la palta (qui ne mérite même pas d’être traduit par “avocat” tellement sa saveur est différente!), et bien sûr l’amabilité des locaux, qui font qu’on se sent chez soi. Cependant on préfère retenir de Valparaíso que c’est un endroit où l’on a vécu notre condition de voyageurs libres de contraintes comme peu d’autres! Après 5 jours et l’accueil royal de Juliette et Marcelo, c’est à contrecoeur qu’on se résout à partir…

 

La primera impresión que se tiene de Valparaíso es la de una especie de teatro: el “plan” (la parte llano a lo largo del mar) sería el escenario donde pasa todo el tráfico, las zonas comerciales, el mercado central y la estación de autobuses. Todo alrededor, miles de casas de colorines agarradas a los 42 cerros de la ciudad parecen observar lo que pasa allá abajo!

Cuando llegamos, ya es de noche y los “cerros”, estas zonas sobre elevadas que se ven de cualquier punto de la ciudad, lucen miles de luces que les dan un aire de cuenta de hadas! Valparaíso, es ante todo el país de las escaleras, de los callejones que suben y de las casas de paredes pintadas (o cubiertos de chapa) con colores alegres que parecen aguantar hasta su último aliento los relieves escarpados del lugar. La ciudad en si es ruidosa, sucia, los perros sueltos corren por las calles, y la mala fama de algunos barrios les adelanta: su rica vecina Viña del Mar no tendría porque tenerle cualquier envidia… Pero Valparaíso no se visita: allí paseamos, respiramos la intensísima vida que la recorre, el ambiente bohemio, las paredes cubiertas de tags y de pinturas de las más artísticas. Todo el encanto de la ciudad se encuentra en su autenticidad, su identidad que la hace única (los porteños como se les llama están orgullosos de recordar que McDonald’s fracasó dos veces al intentar conquistar la ciudad de Pablo Neruda).

Si se tenía que resumir nuestra estancia, destacaríamos bonitos paseos por los cerros, miradores más espectaculares los unos que los demás, los “micros” (autobuses locales) que corren en medio del tráfico, el bocadillo “completo” (carne, aguacate, tomate, ensalada y mayonesa, el matador del Big Mac) y el descubrimiento de la palta (que no merece que lo traduzca por “aguacate” tanto el sabor es distinto!), y por supuesto la amabilidad de los locales, que hacen que nos sentimos como en casa. Sin embargo preferimos recordar Valparaíso como el lugar donde disfrutamos nuestra condición de viajeros libres de compromisos como en pocos más! Después de 5 días y con la hospitalidad de Juliette y Marcelo, es un sufrimiento tener que irnos… 

Pour en terminer avec le Chili, sachez qu'il existe aussi à Valparaíso un musée en plein air, terrain de jeu des multiples artistes bohèmes qui donnent leur couleur aux ruelles de la ville. Nous n'y sommes pas allé, mais ce qu'on trouve à chaque coin de rue pourrait valoir le titre de musée... Jugez par vous même!

 

Para acabar con Chile, que sepais que en Valparaíso también existe un museo al aire libre, terreno de juego de los múltiples artistas bohemios que dan su color a los callejones de la ciudad. No lo hemos visitado, pero lo que se encuentra en cada esquina podría valer el título de obra de museo, os dejamos evaluarlo!

Écrire commentaire

Commentaires: 7
  • #1

    magali (dimanche, 01 mai 2011 09:06)

    encore une étape superbe, vous aurez des souvenirs pleins la tête. Profitez bien. Je me trompe où les T° vous ont un peu surpris ?? Fini soleil et cocotiers voilà neige et froid !! Mais ce n'est que le début de votre magnifique et formidable voyage que vous avez la gentillesse de nous faire partager. Bises à vous 2

  • #2

    Didier (dimanche, 01 mai 2011 10:18)

    Je vois que le jeu des 7 différences est lancé !

    - D'abord, Benjamin s'est laissé poussé moustache et barbe, certainement pour ne pas être reconnu par les contrôleurs de pieds photo, qui ont fait suivre son signalement dans toute l'Amérique latine.

    - Ensuite, ça m'amuse beaucoup de voir l'évolution de Valparaiso. La célèbre maison de la colline de l'Artillerie a la télé maintenant ! (Comme au Sappey !) Une antenne satellite a fait son apparition... Jouez au jeu des 7 différences avec la photo ici : http://www.photos-mexique.com/chili/chili/Chili-15.jpg

    --------

    Voy a hacer como Solanré, con una version en espagnol. Olé !

    Veo que el juego de las 7 differencias ha empezado. Olé !

    - Al primer plano, podemos ver que no hay bodegón en las fotografías pero podemos ver a Benjamin con la barba, ciertamente para no reconocerse por los controladores de tripodes fotos, que hizo seguir su descripción en todo la América latina.

    - Es muy interesante también de ver la evolución de Valparaiso. La famosa casa de la colina de la Artillería tiene la tele ahora !! Una antena satélite hizo su aparición... Juegue al juego de las 7 diferencias con la fotografía aquí : http://www.photos-mexique.com/chili/chili/Chili-15.jpg Olé !

  • #3

    Travellingwest (dimanche, 01 mai 2011 12:44)

    Ole! Je vois aussi que la photo de Valparaiso se ha escapado et se trouve au Mexique! Ole!
    Et puis non, les temperatures sont encore relativement clementes, c'est juste a partir de 2.000m que la pluie que nous avons eu a Santiago s'est transformee en neige plus au Sud!

  • #4

    Juliette (dimanche, 01 mai 2011 16:38)

    Et les droits d'image alors!!!! Je croyais que l'on était d'accord.....

    Bon j'espère que vous êtes bien arrivés à Mendoza.Ca m'a fait très plaisir de vous recevoir cette semaine, profitez bien de la suite de votre voyage!!

    Au fait, vous avez oublié de prendre une photo de skipper à Valpo!! Quelle honte d'abandonner votre mascotte toute une semaine dans un sac!

    Je vous embrasse et m'engage à mettre de commentaires aussi souvent que possible!

    Bisoussss!!
    PS: voici pour sophie la fameuse chanson de valparaiso... "La Joya del Pacifico".
    http://www.youtube.com/watch?v=P4pBnyYaCoc&feature=related

  • #5

    Marylène & Philippe (dimanche, 01 mai 2011 20:21)

    C'est avec plaisir que nous avons découvert Valparaiso la ville est vraiment magnifique. Nous comprenons mieux pourquoi Juliette est restée là-bas aussi longtemps, mais nous regrettons de ne pas avoir répondu à son invitation……
    bisous à vous deux.

  • #6

    LA TIA JANINE Y TIO ALAIN (vendredi, 06 mai 2011 11:40)

    TOUJOURS DE BELLES SURPRISES EN OUVRANT LE BLOG SOPHIE ET BENJAMIN
    LES COULEURS DE CETTE VILLE VALPARAISO ME FONT PENSER A UN CONTE DU TAILLEUR qui était pauvre et qui ne pouvait pas s'acheter du tissu neuf - QUI A S'EST COUPE UN COSTUME avec le reste de tissus , AVEC TOUTES LES COULEURS DU MONDE (bleu, blanc, vert, rouge, noir, orange, jaune)
    BISOUS A VOUS DEUX

  • #7

    Ingrid (tía de Osvaldo) (dimanche, 08 mai 2011 04:19)

    Sophie y Benjamín: me he permitido adentrarme en vuestro mundo de viajes, paisajes y anecdotarios tan bien escritos, que van formando una verdadera parte de la historia de nuestro país y de su geografía.

    Nunca esperé conocer a personas tan bonitas, agradables y cultas como ustedes, con dos franceses hablando tan bien el español (mejor que muchos de nosotros)y en un lenguaje tan culto como no se imaginan. Sólo los chilenos podríamos notar el tan buen manejo que tienen de nuestro idioma.

    Fue un tremendo placer conocerlos y conversar con ustedes. Espero que disfruten muchísimo cada país que los reciba y continúen dándonos la posibilidad de recorrerlos a través de sus palabras y fotografías.

    Desde Talca, Chile, un gran abrazo para ustedes y bendiciones, para que cada una de sus travesías sea un disfrute inolvidable en vuestras vidas.

    Con mucho cariño

    Ingrid

Astuce: pour enlever cette publicité Jimdo, jetez-donc un oeil sur JimdoPro... ;-)

Informations ici